[NC-16]Bienvenue à Géolia ! Oubliez les robots pour vous servir ! Les hybrides sont là !
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Le Deal du moment : -40%
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + ...
Voir le deal
29.99 €

Partagez|

Mortal Misery • You're the dirty slut, and I fuck you deeply [Terminé]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Misery Mortal
Misery Mortal

Fiche de présentation : [url=lien]Nom FIche[/url]
Messages : 22
Date d'inscription : 16/06/2014

Arrière pensé
Orientation sexuel: Bisexuel(le)
Hybride de :
Maître de :
Mortal Misery • You're the dirty slut, and I fuck you deeply [Terminé] Empty
MessageSujet: Mortal Misery • You're the dirty slut, and I fuck you deeply [Terminé] Mortal Misery • You're the dirty slut, and I fuck you deeply [Terminé] EmptyLun 16 Juin - 19:52

Mortal Misery • You're the dirty slut, and I fuck you deeply [Terminé] Imagem12
Identité
Nom - Mortal
Prénom - Misery
Age - 19 ans
Sexe - Feminin
Profession - Cumule les petits jobs pourris histoire de se tirer de la mélasse. Finit toujours par se faire renvoyer.
Humain/Hybride - Humaine.
Groupe - Neutre. Elle a l'air méchante comme ça, mais elle aboie plus qu'elle ne mord.
Orientation sexuelle - Bisexuelle. A plutôt tendance à coucher avec des femmes sachant qu'elle a horreur d'être dominée, et ressent une profonde haine viscerale pour les hommes.
Statue social (si humain) - Pauvre.
...
Caractère & PhysiqueQui es-tu au font de toi même?
Je suis une merde. La plus monumentale des merdes, ainsi que la plus profonde salope qu'on ait connu. J'le sais et j'en ai strictement rien à branler, parce que j'y peux rien. Du moins j'essaie d'en avoir strictement rien à branler. J'me souviens qu'un jour mon père, très croyant, m'a dit : "espèce de pauvre conne, tu cumules tous les péchés de la planète, quand tu mourras Dieu t'enverra en enfer. J'ai honte d'être ton père." J'suis pas sûre que sa créature imaginaire pour les pédales consanguines en quête de sens à leur vie accepte que l'on dise ça à sa gosse, déjà qu'elle est censée prôner la paix et l'amour mais qu'elle arrive à rien. Omnipotence mon cul.

Mais bon, c'est pas ça qui m'a empêché d'aller cherchez "péchés capitaux" sur internet. J'ai honte putain.

SUPERBIA

J'ai pas l'impression d'être si orgueilleuse que ça. J'me considère comme une merde, mais y a des plus grosses merdes que moi, quand même. Comme les salopes en quête d'attention, les paillassons qui se tassent dans un coin en priant pour qu'on ne fasse pas gaffe à elles, ces croyants qui vous crachent leurs contes de fée à la gueule, ces conneries d'athées qui bandent parce qu'ils se sentent tellement rebelles face à la religion, le conformisme comme l'anticonformisme exagéré, ces larbins en position foetale que sont les hybrides dociles, ces racistes généralisateurs et pédalesques que sont les hybrides rebelles, les hommes en général et les femmes en général. En fait, p'têtre bien que j'le suis un peu.

"Non mais mon gars, t'as autant de virilité que ta mère en string et tu t'imagines encore que tu vas me baiser ? Y a qu'une salope soumise ici et c'est toi"

AVARITIA

L'avarice ? Peut-être. Mais qu'est-ce que je pourrais avoir à donner bordel ? Mon père est une merde qui a arrêté ses études au collège, et ma mère une glandeuse incapable de garder un boulot. Ce serait p'têtre pas à moi dans ce cas, mais à mes parents, n'empêche que j'ai rien du tout. Mais maintenant qu'j'y pense, p'têtre  que c'est pas qu'une question de biens matériels, p'têtre que je donne pas d'moi, en général. Tout le monde me fait chier et j'fais chier tout le monde donc j'vois pas c'que j'pourrais faire de plus. Personne n'obtient jamais rien de bien de moi, mais j'demande rien aux autres non plus, donc ça conserve l'équilibre j'imagine. P'têtre aussi que ça vient du fait que j'suis incapable de me mettre en couple et d'aimer quelqu'un, mais j'y peux quoi, j'suis comme ça.

"Non mais t'as cru que c'était le festival du pâté ou quoi enculé ?! Non tu peux pas m'rappeler, de toute façon t'es une merde au lit"

INVIDIA

Nan, celui-là, clairement, nan. J'suis pas du genre à tout faire pour m'approprier les bien des autres. Enfin j'crois pas. C'est vrai que j'suis jalouse des autres salopes qui postent toute les cinq minutes des phrases en "mon homme" sur internet. C'est quoi cette merde en fait, j'comprends pas comment on peut consacrer toute sa vie à un enculé qui nous jettera comme un étron au moment où il aura trouvé une paire de seins plus grosses et une chatte plus expérimentée. Ouais, c'est ça qu'on est nous les femmes, des viandes à se faire baiser. Mais pas moi. Plus moi. J'l'ai été, mais plus maintenant. Maintenant que j'y pense, en fait, c'est pas d'l'envie, juste de la jalousie, pour les gens qui sont plus heureux qu'moi. Rassurant.

"Tu vas te calmer un peu salope avec ton homme ? Tu mériterais des coups de godeceinture dans ta gueule de péripatéticienne. Je te hais et je t'encule toi et toute ta famille de flans espèce de sale bourge"

IRA

La colère. J'sais pas. Ouais. C'est vrai que j'me fous en rogne pour que dalle. Et que quand je l'suis, je le fais comprendre. En traitant les abrutis congénitaux qui me font chier de tous les noms au mieux, en les frappant au pire. J'ai un caractère de merde, j'le sais. J'y peux rien. Cette sensation de frustration grandissante dans le ventre, ces gouttes de sueurs qui perlent sur mes bras, cette machoîre qui se resserre, ces muscles du visage qui se contractent, comment s'en débarrasser à part en défonçant toutes les pédales à ma portée ? Enfin, c'est vrai que d'après les gens, j'suis trop susceptible, et que je ferais bien d'calmer mes hormones. Mais j'y peux rien.

"Oh putain non c'est pas vrai, dites-moi qu'il se fout de ma gueule ou je vais defoncer la sienne"

GULA

Ouais, enfin... c'est très con dit comme ça, mais oui j'aime manger, j'aime beaucoup même. J'cuisine comme un manchot unijambisque trisomique sans aucun sens de l'odorat, mais j'aime les bons petits plats. Y en a qui disent que c'est mignon, ouais mais j'en ai rien à branler des fils de lâche qui disent ça, j'cherche pas à l'être. De toute manière, j'pense pas que ça puisse être considéré comme un péché, vu que ça implique la démesure. C'est pas parce que j'suis un peu gourmande que j'vais forcément m'retrouver en train d'me rôtir le cul dans les tréfonds de l'Enfer.

"Quel est l'enculé de sa mère qui m'a éteint le four ?! Ah merde, j'suis seule ici c'est vrai"

ACEDIA

La paresse, ou l'acédie, comme on l'entend. Ouais, j'suis paresseuse. Incapable de me sortir les doigts du cul pour bosser mes cours ou nettoyer mon logement. Mon je-m'en-foutisme n'arrête tellement pas de grimper qu'il va atteindre la taille de l'Everest, et j'm'en fous. Parce que c'est le principe de la chose. Ma chambre à coucher ressemble à une immonde décharge atomique et j'ai pas l'argent pour me payer un hybride qui ferait ces conneries à ma place. Et même, si j'en avais un, j'me sentirais mal de lui demander ça. De toute façon mon père, bien que j'habite plus chez lui, me foutrait la mandale du siècle pour avoir adopté l'une de ces "abominations de l'homme". Eh oui, parce qu'après tout la création de Dieu est d'une perfection absolue et c'est le Diable qui a ordonné aux hommes de la modifier et bla bla bla et franchement je m'en bat tellement les couilles même si j'en ai pas.

"Ferme ta gueule dégueulasse espèce de grosse tapette soumise aux normes de pédales de la société humaine actuelle, je ferai ça demain"

LUXURIA

Mon pire péché j'pense, celui qui va sans doute m'envoyer pourrir en enfer. Et encore j'suis pas sûre que Satan veuille d'une salope comme moi tellement que j'suis un cas désespéré. J'tiens les mâles par la bite en couchant avec tous ceux qui viennent, puis j'les revois plus jamais. Y en a un ou deux qui m'ont demandé mon numéro mais j'les ai envoyés chier tellement fort qu'ils ont fini en position chialeurs roulés sous leur lit pendant la semaine qui a suivi. J'aime les femmes aussi. J'les préfère même un peu, y en a peu qui essaient de te retourner quand t'as le dessus, parce que j'déteste être en-dessous. J'ai la chatte explosée à force de mes masturbations compulsives, et j'pense tellement au sexe toute la journée que ça en tourne à l'obsession salopesque. J'lai déjà fait dans un lit, sur un canapé, dans les hautes herbes, dans une piscine, contre le mur, par terre, dans un couloir, dans un lac, et j'en passe des belles. D'après mon médecin, je souffre d'hypersexualité et je dois être soignée, d'après mon père et tout mon entourage, j'suis une pute. J'sais pas qui croire dans tout ça.

"Je veux littéralement te baiser là maintenant tout de suite dans ce couloir, et t'entendre crier tellement fort tes orgasmes que tu me gueulerais de continuer. T'es d'accord ?"

En bref, je viens de confirmer que je vais tellement me faire décapsuler la gueule à coup de bâton magique au jugement dernier que Satan deviendra mon nouveau papa ou au pire mon mac, mais j'men fous. Parce que je peux pas changer. C'est comme ça.

Physique

J'ai du mal à me regarder dans le miroir. Pas que je sois une salope de complexée pour rien, j'ai juste honte de moi, c'est tout, rien à voir. Mais là pour le coup j'suis obligée de le faire, puisque j'ai trouvé un job de serveuse dans un fast food et que ça la foutrait mal de débarquer en mode balais brosse dégueulasse dés le premier jour. Même si bon, y a que des gros beaufs qui bossent dans des fast foods. J'parle pas de moi.

J'commence par prendre une brosse et à en foutre un coup dans ma tignasse. Mes tifs sont noirs, noirs de jais, bien que le terme exact, c'est brun foncé. Mes cheveux battent tellement les records du nombre d'épis qu'il faudrait les inscrire dans le Guinness. Ils me tombent dans les yeux, et partout d'ailleurs. C'est très chiant, limite j'ai envie d'les raser, mais j'le ferai pas, j'tiens à mon semblant de féminité. J'les porte assez courts quand même, aux épaules, parce que j'ai la flemme de les laisser pousser et de devoir les démêler, ou plutôt les arracher sauvagement, tous les matins. J'comprends même pas pourquoi j'me suis autant percé les oreilles, on voit même pas les conneries que j'met dessus. Ah oui, c'est vrai, j'ai fait ça quand j'étais dans ma période "pouffe en quête de personnalité".

J'passe mes mains sur mon visage. J'suis aussi blanche qu'un cul, mais au moins j'met d'la crême tous les jours, pour éviter d'avoir trop d'imperfections. En me tâtant la peau, j'me demande comment mettre ma gueule d'eurasienne en valeur. Ma mère est d'origine coréenne, c'est elle qui m'a refilé ses gênes de nem. Du coup j'ai écopé d'un nez aplati mais retroussé grâce à mon père, des yeux un peu trop grands pour qu'on me prenne pour une jaune mais d'un noir tellement noir qu'il y a absolument rien à foutre pour les faire ressortir. J'passe un coup d'oeil sur ma bouche en coeur pulpeuse de pétasse, et me dit que finalement, j'ai besoin que d'un coup de mascara pour m'agrandir mes cils.

J'jette un coup d'oeil à mon corps dénudé. J'veux détourner le regard putain. J'le hais tellement, ce corps de grosse salope. J'suis trop sale. Une putain de viande à viol. J'ai des suçons partout sur mon ventre plat, sur mes longues jambes fuselées, sur mes bras fins, sur ma poitrine de taille relativement moyenne. Mais j'peux pas détourner mes yeux, parce qu'il faut que j'habille. Enculé de merde qui a inventé le miroir. Ce salopard me hurle à la gueule à quel point je suis qu'un objet qu'on utilise comme on veut pour vider ses couilles. A quel point tout le monde se sert de moi. Mais j'veux pas qu'on se serve de moi. Plus maintenant. J'me sers des autres. C'est ce que je ferai toujours. J'veux frapper le miroir. J'le fais pas. J'met une chemise. Un pantalon. J'sors de la pièce en courant.
Histoire
Tout c'que j'sais de ma naissance, c'est que j'suis un putain d'accident. Mes darons ont fait la connerie de leur vie quand ils étaient au lycée, trop rebelles que vous allez me dire. A seize ans seulement, ces deux monumentaux abrutis se sont retrouvés à élever un marmot gueulard. Coucou la jeunesse gâchée, mais c'est pas ça qui a empêché ma mère de m'aimer, au contraire. D'ailleurs j'suis vraiment une belle salope d'avoir recraché toute ma haine sur elle quand j'étais en mode "crise existentielle personne ne m'aime". Tout ça parce qu'elle était trop gentille.

"On sait que c'est ça que tu veux"

Mon père en revanche, c'était une autre paire de manches à balais. Ce con, le jour de ma naissance, s'est tellement fait engueuler par ses deux chiens de parents qu'il a fini en position foetale le dos en sang à cause des coups de ceintures. D'après ce que m'a dit ma mère. Fallait dire qu'ils étaient vraiment très croyants ses deux vieux, et qu'avoir un dépucelage précoce dans la famille, ça la foutait très mal. Du coup cette incroyable victime a commencé à penser que j'étais une punition de Dieu pour son pêché et qu'il devait m'assumer. Ouais, après tout, pourquoi pas. J'pensais surtout que cette merde monumentale aurait dû s'enfiler une capote. Mais qu'est-ce que je disais, il était sans doute trop con pour regarder autre chose que le schémas du vagin en cours d'éducation sexuelle. Pas pour rien qu'il avait arrêté ses études au collège cet enculé.

"Laisse-toi faire connasse"

Sauf que les gamines en manque d'attention paternelle, ça finit très vite en mode coucou la prostipute, et j'ai pas fait exception. Mais ça, ça vient après. J'avais pas mal d'amis en maternelle et à l'école élémentaire, j'savais bien m'intégrer. Puis est venu le collège. Garder ses amis s'est avéré moins facile. Du coup, c'est là que mon niveau de puterie a explosé au niveau puissance deux mille. Coucou le maquillage à douze ans, coucou les conneries de vêtements de mini péripatéticienne. Le regard des autres comptait tellement pour moi que j'en oubliais de me regarder moi-même. Quand y avait un pauvre gamin qui subissait du harcèlement scolaire, j'avais jamais les couilles de me dresser face à ses tortionnaires de peur de me faire lyncher. J'étais la pétasse en puissance, tout ça parce que j'cherchais toujours à me faire aimer. Ironique cette vie de merde.

"T'as vu comment elle s'habille la salope ? C'est clair que c'est ça qu'elle cherche à se faire défoncer le cul"

Ma technique marchait plutôt bien. Tout le monde m'aimait, ou au moins faisait semblant pour ne pas se faire décapsuler par le reste de la classe. J'avais pas de vrais amis, je vivais dans un climat de superficialité, mais je faisais avec. Et puis vint le lycée. Au départ, ça se passa comme au collège, puis me vint le goût de séduire. Pas celui du sexe, j'étais qu'une gamine. Juste celui de m'asseoir sur les genoux des mâles, de m'jeter dans leurs bras de salopards, sans pour autant jamais sortir avec l'un deux. Sauf un jour, où j'l'ai fait. J'croyais que j'l'aimais, mais j'voyais que mon reflet à travers ses yeux. En fait, j'aimais l'aimer et me faire aimer, comme la salope que j'étais.

"Toujours à chauffer tout le monde celle-là, elle les a bien cherchés ses coups de bite"

Un jour, il m'a emmenée chez lui. J'étais toute contente de voir l'endroit où il habitait pour la première fois. Il m'a fait m'asseoir, et je me réjouissais de passer la soirée en amoureux. Il m'a fait boire, un peu, beaucoup. Et puis il a dit que ses potes allaient arriver. J'avais pas compris, j'étais bourrée. Ils étaient entrés. Ils avaient bu. J'avais eu peur, tout à coup, sans raison. J'avais dit que j'allais partir. Les laisser entre eux. Mon copain m'avait retenue, embrassée, me disant que je n'allais pas partir tout de suite. J'avais vraiment pris peur. Ils s'étaient approchés.

"Arrête de pleurer sale pute, on sait très bien que t'aimes ça"

Plus tard, j'avais été déscolarisée. Profonde dépression. J'avais plus aucun contact avec l'extérieur et mes parents n'avaient jamais rien su, malgré toutes les questions stupides de ma mère. J'questionnais mon reflet dégueulasse dans cet enfoiré de miroir. Tu t'étais vue, salope ? Comment t'avais cherché la merde ? Comment tu t'habillais comme une allumeuse, même si toutes les putes de ton âge faisaient la même ? T'avais vu comment  tu chauffais tout le monde ? T'étais dégueulasse ma pauvre, aussi dégueulasse que ton corps sale et pourri. Tu l'avais cherché de te faire prendre ta virginité de cette manière, tu l'avais bien cherché de te faire tenir par deux mecs pendant que les autres riaient en te voyant te débattre faiblement, c'était de ta faute. Peu importe combien tu te laveras, ça disparaîtra jamais de ton corps dégueulasse.

"Salope","Tu la veux ma grosse bite dans ta bouche de pute","Arrête de crier, on dirait une truie"

J'avais vu personne pendant un moment, j'ai passé mes années lycée par correspondance. J'faisais tellement que traîner sur l'ordi comme la no life dépressive que j'étais devenue, j'en avais presque plus rien à branler de ma féminité ou de recevoir l'affection que j'avais recherché toute ma vie. Au point que j'avais limite fini par devenir un mec, rien qu'à la façon ultra vulgaire de parler que j'avais développé, ou à mes vêtements, voire ma coupe de cheveux. J'crois que je voulais plus qu'une chose, qu'on me foute la paix.

"Et si tu parles on fait la même chose à ta mère"

A dix-huit ans, j'ai commencé, ou recommencé, à avoir une sexualité. A vrai dire, j'ai enchaîné les partenaires, qu'ils soient femmes ou homme, jeunes ou vieux, beaux ou laids. Je voulais tout effacer de ma mémoire, tout ce que j'avais provoqué quand j'étais plus jeune. Je ne le pourrais jamais, mon corps gardera à jamais cette souillure, mais peu m'importait. De toute manière si l'on avait pas respecté mon corps, je ne voyais pas pourquoi moi, je le ferais. J'dominais tous ces fis de pute, ils étaient à ma merci, j'me servais d'eux comme on s'était servi de moi. Le sexe devenait un besoin pour moi, plus je me laissais aller à mon appétit, plus ils grandissait. Plus mon appétit grandissait, plus le sexe devenait pour moi une banalité du quotidien.  Cercle vicieux dont je ne me sortirai jamais. Mon médecin disait que je souffrais d'hypersexualité, qui était une maladie. Mon père me traitait de pute. J'vivais loin de lui, dans un logement social, mais il concervait une forme de contrôle sur ma vie. Peut-être parce qu'il m'aimait, en fin de compte. J'en savais rien.
Relations / Objectifs
Relations
///
Relations joueur
///
Joueur
Qui êtes-vous ?
Pseudo:  Vous pouvez m'appeler Moineau. ~
Age  Seize années. ~
Comment nous a tu connus? Partenariat !
Pourquoi nous ?
Des suggestions?  Pas grand chose à vrai dire, pour l'instant.
Des chose de bien de vue?  Tout est clair, le thème est très beau et accueillant !
=> code du Règlement : Validé by Kin'
(c) Never-Utopia
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité
Mortal Misery • You're the dirty slut, and I fuck you deeply [Terminé] Empty
MessageSujet: Re: Mortal Misery • You're the dirty slut, and I fuck you deeply [Terminé] Mortal Misery • You're the dirty slut, and I fuck you deeply [Terminé] EmptyMar 17 Juin - 2:16

Bienvenue sur le forum !

Belle fiche , je valide
Revenir en haut Aller en bas

Mortal Misery • You're the dirty slut, and I fuck you deeply [Terminé]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Hybride ou maître ? ::  :: Présentation :: Validé! :: Maître(sse) Neutre-