Blue Hotta, c’est une louve, enfin plutôt une hybride Okami. L’hybride avait peur, il faisait noir, ça sentait la mort. Soudain une lumière blanche m’ébloui. C’est bon, j’étais en train de rejoindre le Paradis. Dans ma tête j’étais humaine et j’étais morte sous ma forme animale. Une énorme pulsation électrique traversa son corps ce qui fit couiner la jeune louve. La jeune louve prit plusieurs autres décharges avant de se retrouver sur un brancard. Son maître se tenait à ses côtés dans l’ambulance qui transférait la louve vers une clinique vétérinaire. Blue souffrait à son postérieur gauche. Blue arriva à la clinique à moitié dans les vapes quand on l’endormit pour l’opérer. Quand l’hybride se réveilla elle avait un énorme plâtre sur sa patte. Elle essaya de se retransformer sous sa forme humaine. Elle faisait la même chose que d’habitude mais cela ne marcha pas.
Au bout d’une bonne grosse heure d’essai, son maître arriva avec une petite friandise. L’hybride l’accueilli très heureuse de le voir, elle voulait se faire pardonner de s’être enfuie. Il caressa un peu son hybride avant de se retourner devant le vétérinaire. Ils parlèrent rapidement de mon état, et que s’il souhaitait ma revoir sous sa forme humaine il fallait la revendre à un laboratoire. En tant qu’hybride avec un défaut, il valait mieux la ramener au laboratoire pour qu’elle soit mieux soigner. Blue senti la tristesse l’envahir. Elle ne voulait pas quitter son maître même si elle était très heureuse avec lui, elle savait qu’elle le serait encore moins à être le cobaye de plusieurs expérimentation. Une fois vendue elle fut encore une fois endormie, pour être transportée.

Une fois dans ce laboratoire, la jeune louve fut examiné un nombre de fois qu’elle n’en pouvait plus. Ça doit faire un bon mois qu’elle est dans ce laboratoire, sa patte est guérie mais elle ne peut toujours pas se transformer. Les chercheurs ont tous fait pour qu’elle puisse reprendre sa forme humaine mais elle ne peut toujours pas le faire. Son corps refuse catégoriquement de le faire. Elle en avait marre de ces expérimentation est commençait à être vraiment agressive avec le personnel du laboratoire.
Alors qu’elle dormait tranquillement dans le panier installé pour elle dans sa cage de vers, il faisait sombre dans cette pièce et n’avait pas vu le soleil, la pur de l’extérieur des bâtiments depuis qu’elle était arrivée. Soudain la lumière s’alluma. La louve émit un léger grognement qui s’entendait à peine avant d’ouvrir les yeux lentement à cause de cette lumière un peu trop forte pour un réveil. Une voix se fit retentir saluant la louve. Blue leva sa tête de louve vers la personne. Lorsqu’elle vit que l’humaine s’approcha de la cage, et s’agenouillait devant elle, elle se mit à debout en position défensive. La louve grogna en montrant ses crocs en faisant un pas de temps en temps avant de reculer. L’humaine sourit amusé ce qui déplut fortement à Blue qui avait pas était super bien traité durant ces derniers jours. La louve attaqua la scientifique ne pouvant passer la cage elle s’arrêta juste devant.
Ça va ?

L’hybride regarda l’humaine étonné de la question de l’humaine. Etait-elle débutante pour ne pas savoir que la louve ne pourrait répondre qu’en faisant un signe de la tête et non avec des paroles. La louve fit ce qu’elle put pour pouvoir lui répondre, un simple « non » de la tête. La louve se calma un petit peu mais resta en position de défense quand elle vu la fille, qui était rentrée dans la pièce où habitait l’hybride, lire une espèce de gros bloc de papier où elle arriva à lire juste sur la couverture son nom. A la suite la chercheuse lui posa deux questions, auxquelles l’animal ne pourrait répondre n’étant pas doter de la parole.
Je me demande si, sous forme humaine, ce sont tes cheveux ou ta peau qui prenne cette ci belle couleur blanche…
Dit…Ci tu restes sous cette forme…C’est un traumatisme non ? Pour ça que tu ne peux pas te retransformer quoi qu’on passe… mais tu restes légèrement humaine avoue…
La louve regarda l’humaine intriguait avant de se rapprocher de la vitre et de s’assoir devant la vitre qui s’éparait les humains d’elle. Quelque chose semblait être intéressant dans cette humaine pour que la louve se calme. Elle se méfia comme même, et observa chaque faits et gestes de la jeune chercheuse.